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Côté gauche - agrandir l'image - Toujours le même rituel, découpe, ajustement, soudure, meulage, traitement, un poil de mastic de finition puis apprêt. Un seul objectif : plus de rouille. Le moindre petit trou de rouille subit ce traitement de choc. Les parties du bus qui ont subi un choc ou une éraflure sont particulièrement victimes de rouille perforante. Alors qu'elles paraissent saines, on s'aperçoit que sous la peinture, la rouille a déjà pris position. Résultat : beaucoup plus de travail que prévu dans le but de tout assainir. Je pensais, quand j'ai acheté la tôle qui ne se vend qu'en plaque de deux mètres carré, en avoir beaucoup trop. Et bien je pense en avoir utilisé au total presque un mètre carré, et il est bien pratique d'avoir de grandes longueurs, la plaque mesurant un mètre sur deux. La matière première ne manquant pas, je n'ai jamais hésité à découper large dans le bus.
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